Jeu: #TaPage34

Un de mes coups de coeur ^_^

Ah bon c'est du Steinbeck? ?? Je n'ai pas reconnu dites donc. Et pourtant je l'ai lu...trop fort!

@Sarahdu91

Sarahdu91 a écrit:

Ah bon c'est du Steinbeck? ?? Je n'ai pas reconnu dites donc. Et pourtant je l'ai lu...trop fort!

comme quoi on oublie même le nom du personnage principal

@Sylvaine tombe par hasard sur les auteurs, moi, je vais sortir la boule de cristal allez hop...

Sarahdu91 a écrit:

@Sylvaine tombe par hasard sur les auteurs, moi, je vais sortir la boule de cristal allez hop...

tu penses à te reconvertir c'est bientôt la fête foraine .. ok je sors

Ah oui @Sylvaine complètement...j'avais même cru ne pas avoir lu ce livre avec un pasteur...

Ouîiiiiiii @Sylvaine je me prépare pour le pique nique de Babelio.
Je mettrai la caravane sur la pelouse de reuilly! !

Madame Sarah te dit l'avenir

sylvaine a écrit:

Pour l'extrait bleu proposé par sabisab28 je pense à Ceux qui restent de Marie Laberge
attendons le verdict de sabisab [smiley]https://2img.net/i/fa/i/smiles/icon_smile.gif[/smiley]

Bravo !!

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Callie34 a écrit:

Sarahdu91 a écrit:

Callie34 a écrit:

Sûrement un roman au vitriol mais lequel

un roman au vitriol... tu peux m'en citer quelques uns callie34
ça ne me dit pas grand chose...

Je n'ai pas d'exemple précis mais ces auteurs qui dénoncent le système, qui n'hésite pas à écrire qu'ils se droguent...

Tu en dis beaucoup ! :-)

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Houellebecq Despentes me viennent à l esprit

sabisab28 a écrit:

Callie34 a écrit:

Sarahdu91 a écrit:

Callie34 a écrit:

Sûrement un roman au vitriol mais lequel

un roman au vitriol... tu peux m'en citer quelques uns callie34
ça ne me dit pas grand chose...

Je n'ai pas d'exemple précis mais ces auteurs qui dénoncent le système, qui n'hésite pas à écrire qu'ils se droguent...

Tu en dis beaucoup ! :-)

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Je n'ai pas la réponse je vous dis à quoi ça me fait penser mais je n'arrive pas à mettre un nom dessus

En effet vitriol s'associe tout seul à Despentes :-) Mais je n'en ai jamais lu, pas plus que Houellebecq, d'aiileurs

sabisab28 a écrit:

sylvaine a écrit:

Pour l'extrait bleu proposé par sabisab28 je pense à  Ceux qui restent de Marie Laberge
attendons le verdict de sabisab [smiley]https://2img.net/i/fa/i/smiles/icon_smile.gif[/smiley]

Bravo !!
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C'est le vert ?

Ah j'ai trouvé Beigbeder alors j'en ai lus que 2 de lui donc je dirai le plus ancien 99 francs ?

Callie34 a écrit:

sabisab28 a écrit:

sylvaine a écrit:

Pour l'extrait bleu proposé par sabisab28 je pense à  Ceux qui restent de Marie Laberge
attendons le verdict de sabisab [smiley]https://2img.net/i/fa/i/smiles/icon_smile.gif[/smiley]

Bravo !!
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C'est le vert ?

Non c'est le bleu @Callie34 c'est Sylvaine qui le dit d'ailleurs...

OK pour vos romans au vitriol mais ça ne me donne pas envie du tout. ..

@Pc37shu tu as peut être toi même donné l'auteur qui sait?

Sarahdu91 a écrit:

Callie34 a écrit:

sabisab28 a écrit:

sylvaine a écrit:

Pour l'extrait bleu proposé par sabisab28 je pense à  Ceux qui restent de Marie Laberge
attendons le verdict de sabisab [smiley]https://2img.net/i/fa/i/smiles/icon_smile.gif[/smiley]

Bravo !!

C'est le vert ?

Non c'est le bleu Callie34 c'est Sylvaine qui le dit d'ailleurs...

Je n'ai pas les couleurs sut topit mais c'est la 3ème proposition Sylvaine avait déjà avancé l'idée d'une québécoise

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Callie34 a écrit:

Ah j'ai trouvé Beigbeder alors j'en ai lus que 2 de lui donc je dirai le plus ancien 99 francs ?

C'est bien celui là ! Bravo !

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Sarahdu91 a écrit:

OK pour vos romans au vitriol mais ça ne me donne pas envie du tout. ..

Pc37shu tu as peut être toi même donné l'auteur qui sait?

Ah oui ?
Jaime beaucoup Beigbeder.

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Allez hop, voici ma page 34 orange :

 Le régiment complet arriva deux jours plus tard aux environs d'Epinal. Ce fut ensuite la marche-manoeuvre durant dix jours, histoire de se préparer aux assauts. On entendit le son du canon pour la première fois à Varennes. Et la colonne se tut. Les hommes se regardèrent, incrédules, comme s'ils cherchaient une vaine explication à leur présence ici. Et ils baissèrent les yeux en manière de recueillement singulier, dirigé vers parents, frères, soeurs, femmes, enfants. Spectacle poignant, quand l'idée de la mort s'engouffra sous les képis, la conscience aiguë que le voyage n'avait pas encore commencé, le véritable voyage, celui qui allait les déverser dans l'horreur à la manière de lemmings programmés pour le suicide. Un soldat fanfaronna un court instant, puis se mit à chanter pour tenter de couvrir le bruit de la mitraille. D'autres le suivirent. Leurs voix tremblaient d'émotion et la terre tremblait aussi. Victor ne put se joindre au chant. Son coeur se déchira alors et il rêva d'entendre aboyer un chien.

Ah d'accord je vois ce qu'ils veulent dire... là vérité. Ce que bcp ne veulent pas entendre. Ils la balancent directement c'est ça!
Eh bien, merci pour les informations du soir, Beigbeder, à creuser. Merci @Sabisab28 tout est bon à prendre.
Comme quoi la page 34 est très instructive

@callie34 c'est cet extrait là que j'ai validé :Les mêmes policiers m'ont ramené en ville parce que je voulais l'annoner moi-même à Mélanie-Lyne. Quand elle nous a vus tous les trois dans le cadre de la porte de l'appartement, elle a reculé sans un mot, les yeux écarquillés. Elle a pris Stéphane dans ses bras, mais je ne voulais pas qu'il reçoivent le choc que sa mère allait éprouver. J'ai pris le petit et je suis allée dans sa chambre. J'ai entendu le cri étouffé de Mélanie. J'ai entendu les murmures des policiers. Je jouais à tit-galop avec Stéphane, comme un automate, sans aucun élan, et il me fixait, éberlué de ne ressentir aucun plaisir à ce jeu pourtant prévisible et joyeux. IL a dit "arrête" et il est descendu de mes genoux en criant "maman". IL s'est rué dans la cuisine et a secoué sa mère jusqu'à ce qu'elle le regarde, se penche et le prenne dans les bras.
proposé par @sabisab28 le 30/05

je peux donc en proposer un autre :
« Lizbeth occupait chez lui la chambre n°3 et, en guise de loyer, elle aidait à la bonne marche de sa petite pension clandestine. Aide décisive, lumineuse, irremplaçable. Decambrais vivait dans l’appréhension du jour où un type lui faucherait sa magnifique Lizbeth. Cela arriverait, nécessairement. Grande, grosse et noire, Lizbeth se voyait de loin. Aucun espoir donc de la dissimuler aux yeux du monde. D’autant que Lizbeth n’était pas de tempérament discret, qu’elle parlait fort et distribuait généreusement son avis sur tout. Le plus grave étant que le sourire de Lizbeth, heureusement pas si fréquent, déclenchait une envie irrépressible de se jeter dans ses bras, de se plaquer contre sa grosse poitrine et d’emménager là pour la vie. Elle avait trente-deux ans et, un jour, il la perdrait. Pour l’instant, Lizbeth haranguait le Crieur.
— Tu as du retard à l’allumage, Joss, disait-elle, le corps cambré, la tête levée vers lui. »

Je vais relire avant de faire la maj vous m'avez perdue